En cas de décès, les règles des sections 2.3, 5.1 et 5.2 s'appliquent en ce qui concerne l'inventaire, la répartition et l'attribution des dettes et des biens, excepté que la part qui serait revenue au défunt revient désormais à ses héritiers. Il peut y avoir compensation, et l'époux survivant est habilité à un droit d'usufruit (« usufructo viudal »), qui peut varier selon que l'époux survivant est le seul héritier ou partage l'héritage avec des descendants et / ou ascendants du défunt. Les droits sont principalement attribués en nature mais peuvent également l'être en espèces (art. 834 à 840 du code civil espagnol). La part des biens couverte par les droits d'usufruit peut être augmentée (jusqu'à la limite légale) par voie de testament.

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